Les laboratoires et équipes associées de l’IPSL s’appuient sur les Observatoires des Sciences de l’Univers franciliens (OVSQ, ECCE TERRA, EFFLUVE, OSUPS).
ECCE TERRA (Observatoire des Sciences de l’Univers Sorbonne Université-INSU)
Quatorze laboratoires et trois équipes de recherche, soit environ 1500 agents participent aux missions fondamentales de l’OSU dédiées au domaine des « Sciences de la Terre, du Climat et de l’Ecologie » avec un lien fédérateur « l’environnement » pour contribuer aux progrès de la connaissance dans ces domaines variés mais en continuité thématique, avec une ouverture sur les problèmes de santé (épidémiologie et maladies respiratoires).
OSUPS (Observatoire des Sciences de l’Univers Université Paris Sud)
Créé en 2001, l’OSUPS (Observatoire des Sciences de l’Univers de l’Université Paris-Sud) est composé de 2 laboratoires : l’IAS et GEOPS. L’OSU Paris-Sud accueille une facilité nationale reconnue par le CNES et l’INSU, la station d’étalonnage. Il a également développé IDOC (centre intégré de données et d’opérations), dont les missions sont reconnues par les instances nationales (CNES, INSU) et internationales (ESA, NASA).
Observatoire de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (OVSQ)
Observer pour mieux comprendre le changement climatique et ses impacts et étudier les atmosphères planétaires, dynamiser la recherche transversale et les échanges entre les chercheurs, former de nouvelles générations aptes à réfléchir, décider et agir dans le domaine du développement durable, du climat, de l’environnement et de l’adaptation au changement climatique sont les missions de l’OVSQ.
OSU-EFLUVE
Pour l’exécution de ses missions, l’OSU-EFLUVE, composante de l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC), s’appuie sur cinq laboratoires de recherche. Il peut comprendre des stations d’observation et une unité mixte de services. Les thèmes de recherche développés par les équipes de l’observatoire sont fortement centrés sur l’environnement à l’échelle régionale anthropisée et couvrent les trois compartiments que sont l’air, l’eau, le sol et également le bâti. Le spectre des recherches va de l’analyse physique et chimique de ces milieux à celle de la faune et la flore. L’étude de l’impact anthropique sur ces systèmes, en particulier en milieu urbain, et de sa prise en compte dans la gestion de l’environnement est souvent un point focal de ces recherches. Elles intègrent à la fois expérimentations sur le terrain, en laboratoire et modélisations numériques.