Le Centre de modélisation du climat (CMC)
Le Centre de modélisation du climat de l’IPSL a pour objectif d’étudier le climat terrestre sous ces aspects physiques, chimiques et biogéochimiques. Il rassemble des équipes de modélisation des différents laboratoires de l’IPSL qui étudient les différentes parties du système climatique (atmosphère, océan, surfaces continentales, cryosphère) et leurs couplages. Les études portent sur le fonctionnement du système climatique, sa variabilité et les changements climatiques, que ceux-ci soient d’origines naturelles ou dus aux activités humaines.
Le centre d’observation de la Terre (CEO)
En ce qui concerne l’Observation de la Terre – c’est-à-dire les missions spatiales, les services d’observation et observatoires multi-instrumentés, les grandes campagnes de mesure et chantiers régionaux, les mesures de traceurs géochimiques – l’IPSL a aujourd’hui un rôle double :
- un rôle de coordination à l’échelle francilienne pour renforcer collectivement les activités d’observation de la Terre afin de progresser dans la compréhension du « système climatique ».
- un rôle de centre de données et de services pour le Pôle de données national Atmosphère, comprenant le CGTD « Ether » et le service de données « Climserv » faisant partie du service ESPRI de l’IPSL.
Ensemble de Services Pour la Recherche à l’IPSL (ESPRI)
Le mésocentre ESPRI IPSL regroupe un ensemble de services : espace de stockage, serveurs de calcul, services de virtualisation, infrastructure réseau, logiciels de calcul et d’analyses installés physiquement à Polytechnique dans une salle commune de la DSI et sur le campus Pierre et Marie Curie de Sorbonne Université dans une salle de l’IPSL. Cette infrastructure, résultat de 20 années de mutualisation, s’est construite au plus près des projets scientifiques de l’IPSL et constitue un atout magnifique de l’IPSL.
Le SIRTA
Le site instrumenté « Site Instrumental de Recherche par Télédétection Atmosphérique » (SIRTA) constitue l’un des quelques sites en Europe offrant l’instrumentation, les installations, et les capacités d’accueil nécessaires pour étudier les processus physico-chimiques atmosphériques, de la surface au sommet de la troposphère, en passant par la couche limite, pour mieux comprendre les rétroactions climatiques aux échelles régionales et décennales, pour évaluer les modèles atmosphériques (climat, météo, chimie-transport) et pour valider les observations spatiales.